Garantie intrinsèque
Fiche de révision

Fiche de révision en immobilier : Identifier les différents types de contrats de colocation

Identifier les différents types

de contrats de colocation

Comme le définit la loi Alur, la colocation est une forme de location qui autorise un bailleur à avoir plusieurs locataires pour un même bien, constituant ainsi leur résidence principale, formalisée par la conclusion d'un contrat unique ou de plusieurs contrats entre les locataires. Cette définition figure également à l'article 8-1 de la loi du 6 juillet 1989.

LES NOTIONS A RETENIR

  • Les types de contrats

  • Droits et obligations

  • Colocation en copropriete

  • La resiliation

  • dépôt de garantie

La signature d'un contrat de location est obligatoire. Le bail doit être conforme à un contrat-type qui diffère selon que le logement est loué vide ou meublé. Nous rappelons qu'un logement mis en location doit respecter une surface minimum ( voir : critère de décence).

La surface minimale doit être de :

  • pour 2 colocataires : 16 m2
  • pour chaque colocataire supplémentaire, il faudra rajouter : 9 m2

Choisir le type de colocation et adapter le bail en fonction :

  • Bail individuel : Cette forme de bail offre une certaine flexibilité aux colocataires, car elle leur permet de gérer individuellement leurs obligations envers le propriétaire, tout en partageant les espaces communs et les charges liées à la colocation. Cependant, elle peut nécessiter une gestion plus complexe en cas de rotation des colocataires ou de départ anticipé de l'un d'entre eux.
  • Chaque colocataire est titulaire d'un contrat de bail distinct.
  • Chaque colocataire est responsable uniquement de sa part du loyer et des charges, selon les modalités spécifiées dans son propre contrat.
  • En cas de départ anticipé d'un colocataire, les autres colocataires restent engagés par leur propre contrat de bail et ne sont pas impactés par le départ.
  • Bail collectif avec clause de solidarité :
  • La particularité d'un tel bail réside dans le fait que la solidarité entre colocataires est établie contractuellement. Ainsi, si l'un des colocataires ne paie pas sa part du loyer ou des charges, le bailleur peut se tourner vers n'importe lequel des autres colocataires pour obtenir le paiement intégral des sommes dues.

    Cette solidarité peut être avantageuse pour le bailleur, car elle lui offre une garantie de paiement en cas de défaut de l'un des colocataires. Cependant, pour les colocataires, cela implique une responsabilité collective et un risque accru en cas de difficultés financières de l'un d'entre eux.

Il est donc essentiel que les colocataires comprennent bien les implications de cette clause de solidarité avant de signer un bail collectif, et qu'ils veillent à maintenir une communication et une gestion financière harmonieuses pour éviter les litiges et les situations conflictuelles.

  • Bail collectif sans clause de solidarité :
  • Contrairement au bail collectif avec clause de solidarité, le bailleur ne peut pas réclamer le paiement de la totalité du loyer ou des charges à un seul colocataire en cas de défaut de paiement de l'un d'entre eux.

    La particularité d'un bail collectif sans clause de solidarité réside dans le fait que la responsabilité financière est individualisée pour chaque colocataire. Ainsi, chaque colocataire ne peut être tenu responsable que de sa propre part des dépenses liées au logement.

    Cette forme de bail offre aux colocataires une certaine protection en limitant leur responsabilité financière aux seuls paiements qu'ils ont contractuellement acceptés. Cependant, cela signifie également que le bailleur doit s'adresser à chaque colocataire séparément en cas de problème de paiement, ce qui peut compliquer la gestion financière du logement en cas de difficultés de l'un des colocataires.

Si l'un des locataires ne signe pas le bail, il n'est pas considéré comme colocataire. C'est un simple occupant et il n'a pas de droit sur le logement, même s'il paie une partie du loyer.

COMPLÉMENT

  • Dans le cas d'une colocation dans un immeuble en copropriété, le règlement de copropriété peut contenir des clauses spécifiques régissant les conditions d'occupation des locaux, les règles de vie en communauté, et les modalités de répartition des charges communes.
  • Le bailleur doit veiller à ce que chaque locataire soit assuré : Chaque colocataire est responsable de ses propres biens et de ses éventuels dommages causés à autrui. Par conséquent, il est essentiel pour chaque locataire de souscrire à une assurance habitation adaptée à sa situation et à ses besoins. L'absence d'assurance habitation individuelle peut poser des problèmes en cas de sinistre, car le locataire pourrait être tenu pour responsable des dommages causés aux biens du propriétaire ou des autres colocataires. En outre, certaines compagnies d'assurance peuvent refuser de couvrir les dommages si un seul locataire est assuré pour l'ensemble du logement. 

JURIDIQUE

Sources/ Références : 

  • Wikipédia
  • Article à lire : la sous-location : est-il possible d'en faire ? 
  • BD : La Colocation

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  • Bailleurs privés
    A la demande de nombreux propriétaires bailleurs novices, qui voulaient en savoir plus sur la gestion locative, nous avons eu l'idée à partir de leurs expériences personnelles, en fonction des problématiques recensées, de concevoir des fiches conseils.
  • Personnes exerçants une profession immobilière
    Ces fiches conseils seront, également, très utiles aux professionnels de l'immobilier en charge de la gestion d'un parc locatif de plusieurs lots.
  • Les étudiants
    Elles pourront être d'une grande aide aux étudiants qui sont amenés à effectuer des stages en agences immobilières, ou encore aux apprentis qui sont en contrat d'apprentissage ou contrat de professionnalisation.

Les fiches contenus dans ce guide

  1. 1
    La prospection
  2. 2
    La visite d'un bien locatif
  3. 3
    Le recouvrement des loyers
  4. 4
    Le traitement d'un préavis de départ
  5. 5
    La gestion des conflits lors de l'état des lieux de sortie
  1. 6
    La gestion des travaux
  2. 7
    La régularisation des charges locatives
  3. 8
    Le remboursement du dépôt de garantie
  4. 9
    La gestion des sinistres locatifs
  5. 10
    Maintenir un bon relationnel avec le(s) locataires(s)

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Fiche de révision

Fiche de révision en immobilier : Différencier les types de VIAGER

DIFFÉRENCER LES TYPES DE ventes en VIAGER 

Le terme Viager vient du mot « viage », qui veut dire en vieux français « temps de vie ».

Le viager est particulièrement bien réglementé afin de protéger le vendeur.

L'acquéreur (appelé le Débirentier) verse au vendeur (le Crédirentier) une somme fixe, le bouquet, le jour de la signature de l'acte authentique et une rente mensuelle ou trimestrielle (libre selon l'accord des parties). Elle est effective le jour de la signature de l'acte notarié et s'arrête au décès du vendeur.

les notions à retenir

  • Introduction

  • 2 TYPES DE VIAGER 

  • LES AVANTAGES ET LES INCONVENIENTS

  • LE BOUQUET

  • LA RENTE

D'après un sondage réalisé sur la vente en VIAGER, 72 % des français déclarent ne pas se sentir prêts à acquérir un bien en VIAGER.

Pourquoi ?

Parce que l'on a noté un manque d'information des français sur le sujet.

Beaucoup pensent qu'ils ne pourraient pas disposer du bien dès la signature de vente, ou c'est faux. 

En  effet, toutes les ventes en VIAGER ne sont pas des VIAGER occupés.

D'autres trouvent que cette transaction peut s'avérer très risquée, financièrement parlant, alors que cela dépend de plusieurs facteurs.

Il est vrai que lorsque l'on parle du VIAGER, il y a beaucoup de personnes, des investisseurs, des acquéreurs potentiels qui se trouvent que cette transaction est malsaine et que l'on devrait pas faire de parie sur la vie des gens, et d 'autres ont peur de s'engager car cette vente repose sur le principe d'aléa. 



Selon vous, ces préjugés sont-ils réellement fondés ?



N'hésitez pas à lire  notre article  sur le sujet, et prenez le temps d'écouter l'avis d'un expert dans son domaine "  Sophie RICHARD".

COMPLÉMENT

  • La vente doit reposer sur le principe d'aléa : ni le vendeur ni l'acquéreur ne connaît au moment de la signature le montant final de la transaction puisqu'il est lié à la durée de vie du vendeur. Voir Magazine n°6
  • Ne pas confondre la vente viagère à une vente en nue-propriété, malgré certaines similitudes : voir Magazine n°7
  • Il n'y a pas de limite d'âge, mais compte tenue de l'espérance de vie, il est préférable que le crédirentier y songe vers 70 ans, et plus.

La vente en viager n'est pas obligatoirement un investissement risqué : le cas de Jeanne CALMENT est rare.

JURIDIQUE

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  1. 1
    La prospection
  2. 2
    La visite d'un bien locatif
  3. 3
    Le recouvrement des loyers
  4. 4
    Le traitement d'un préavis de départ
  5. 5
    La gestion des conflits lors de l'état des lieux de sortie
  1. 6
    La gestion des travaux
  2. 7
    La régularisation des charges locatives
  3. 8
    Le remboursement du dépôt de garantie
  4. 9
    La gestion des sinistres locatifs
  5. 10
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Fiche de révision en Immobilier : Donner congé au locataire

DONNER CONGE AU LOCATAIRE 

Le congé est l'acte par lequel un locataire met fin à son bail ou un bailleur signifie que le bail ne sera pas renouvelé.

Le congé doit s'effectuer en suivant une législation bien établie. Tout manquement pourrait créer des litiges, voire l'annulation du congé.

Les notions a retenir

  • BAIL d'habitation 

  • bail professionel

  • les autres baux

  • Bail logement nu

Le locataire peut donner congé à tout moment du bail ( LR "Lettre recommandée"+ AR "Accusé de réception") avec préavis de 3 mois ou d'un mois avec justificatifs (mutation, perte d'emploi, RSA, raison médicale...) Aucun préavis n'est prévu en cas d'insalubrité des locaux.

Congé donné par le bailleur en passant par vous:

Le préavis est de 6 mois avant le terme du bail ( LR+ AR ou huissier). Compte tenu du droit à la reconduction du bail, le bailleur ne peut donner congé au locataire respectant ses obligations qu'en cas de :

  • Vente: me locataire bénéficie d'un droit de préemption ( offre d'achat joint au congé)
  • Occupation ( par lui, son conjoint, ses ascendants et descendants)
  • Motif grave et sérieux (démolition de l'immeuble, gros travaux par exemple)
  • Bail logement meublé

En principe le bail est d'une durée minimum d'un an et se renouvelle automatiquement pour la même durée.

S'il s'agit d'un logement pour étudiant, le bail est d'une durée de 9 mois, et il n'y a pas de reconduction du bail. Il prend fin à son terme.

Dans ce cas, le locataire peut donner congé avec un préavis d'1 mois ( de préférence ( LR+ AR) congé à tout moment.

Le bailleur peut donner congé également, mais avec un préavis de 3 mois avant le terme du bail ( de préférence LR+ AR)

Pour se faire, il devra justifier des motifs suivants:

  • Pour en faire sa résidence principale, ou repris par un membre de la famille
  • Pour motif légitime et sérieux ( défaut de paiement du loyer, bruit, dégradations ou travaux à effectuer).

Si ce logement meublé est destiné à la location saisonnière ou résidence secondaire, la durée du bail n'est pas règlementée par la loi et peut varier de quelques jours en location saisonnière à quelques années en résidence secondaire.

Dans ce cas de figure, c'est dans le bail que seront insérées les conditions du congé de la part du locataire et du bailleur et la forme du préavis. Il peut être indiqué que chaque partie peut donner congé à tout moment du bail ( le préavis en règle général est d'1 mois).

De plus, le bailleur n'a pas à justifier son congé.

COMPLÉMENT

  • Concernant les locations d'entrepôts, parking ou garages, c'est la convention entre les parties qui servira de règle.
  • Le préavis du locataire est en général d'1 mois à tout moment du bail et d'1 mois avant le terme du bail ou d'une tacite reconduction par le bailleur.
  • En cas d'abandon du domicile par le locataire, le contrat de location continue
  • Lors du décès du locataire, le contrat de location est transféré, et a défaut de personnes remplissant les conditions prévues au présent article, le contrat de location est résilié de plein droit par le décès du locataire ou par l'abandon du domicile par ce dernier. 
  • En cas de violence conjugale, la solidarité du locataire victime des violences ou celle de la personne qui s'est portée caution, prennent fin le lendemain du jour de la première présentation du courrier mentionné au premier alinéa au domicile du bailleur, pour les dettes nées à compter de cette date.
  • Vous avez la possibilité de consulter un tableau récapitulatif pour d'autres types de baux.

JURIDIQUE

  • Loi n° 2014-366 du 24 mars 2014.
  • Art 14 -Modifié par Loi n°2001-1135 du 3 décembre 2001: résiliation en cas de décès
  • Art 8-1 ordonnance 2020-71 du 29/01/20 : résiliation pour violence conjugale ou de la caution solidaire

Sources/ Références : 

  • Wikipédia
  • Magazine CFP : travaux et augmentation des loyers
  • Cours e-learning : réviser un loyer

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  5. 5
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  1. 6
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  2. 7
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  3. 8
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Fiche de révision en immobilier : Gérer les travaux en gestion locative

GERER LES TRAVAUX - GESTION LOCATIVE

En tant que professionnel de l'immobilier en charge de la gestion locative d'un parc de bien immobilier, vous êtes amenée à ordonner, coordonner et contrôler les travaux de remise en état ou d'entretien courant avant l'entrée du locataire, pendant toute la durée de la location ou encore après l'état des lieux de sortie du locataire.

les notions

  •  à l'entrée 

  • en cours de location

  • A la sortie

Pour rappeler le propriétaire est tenu de délivrer un logement décent et en bon état d'usage. Cela sous-entend, que le bailleur doit réaliser régulièrement des travaux pour garantir le confort du locataire et veiller à ce que son logement respecte les normes de sécurité. Avant l'état des lieux d'entrée, vous devez impérativement vérifier que le logement soit prêt à accueillir des futurs locataires.  Il faut s'assurer que  :

  • Le ménage fait
  • La peinture soit propre
  • l'entretien climatiseur soit réalisé
  • Les menus réparations ou travaux de remise soient terminés
  • Les équipements détériorés ou dégradés soient remplacé
  • Etc.

Quelques fois certains bailleurs vous demandent de mettre en place une convention de travaux à réaliser au sein du logement, selon un commun accord avec le locataire. Cette convention sera alors annexée au bail, précisant toutes les modalités et conditions actées entre les 2 parties.

COMPLÉMENTs

Pour une rapidité des interventions, il faut prendre le temps de bien sélectionner les prestataires de services qui vous seront fidèles, et privilégieront vos interventions. N'hésitez pas à consulter la fiche conseils sur la gestion des travaux et télécharger gratuitement les outils de travail suivants :

  • Planning de suivi ( PDF payant)
  • Questionnaire de sélection des prestataires de services (Gratuit)
  • Grille de vétusté (Gratuit)
  • Fiche de restitution du dépôt de garantie (PDF payant)
  • Barème d'estimation moyenne des prix selon les tarifs du marché (Gratuit)
  • Ordre de mission (PDF payant)
  •  Formulaire de Validation de la Conformité des Travaux. « Vérification » (Gratuit)
  • Les techniques de remédiation : vidéo (Gratuit

JURIDIQUE

Sources/ Références : 

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  2. 2
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  3. 3
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  4. 4
    Le traitement d'un préavis de départ
  5. 5
    La gestion des conflits lors de l'état des lieux de sortie
  1. 6
    La gestion des travaux
  2. 7
    La régularisation des charges locatives
  3. 8
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  4. 9
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Fiche de révision en Immobilier : Maîtriser les notions d’une VEFA

Maîtriser toutes les notions d'une VEFA

La VEFA « Vente en l'Etat Futur d'Achèvement » (L261-3 CCH), est un contrat par lequel l'acheteur acquiert un bien immobilier à construire ou en cours de construction (sous plan) et il est tenu d'en payer le prix sur mesure de l'avancement des travaux. Le vendeur (Promoteur ou encore appelé maître d'ouvrage) s'engage à lui livrer le bien dès que les travaux de construction sont achevés. Cet acte doit être réalisé et signé chez un notaire. Ce type de vente est plus validé dans le secteur protégé.

les notions a retenir

  • SECTEUR LIBRE OU PROTÉGÉ 

  • LE CONTRAT DE RÉSERVATION

  • LE VERSEMENT D'UN DÉPÔT DE GARANTIE

  • LOGEMENT PERSONNALISABLE

  • vice de construction

  • Les avantages et les inconvénients d'une VEFA

  • Les conditions pour bénéficier d'une défiscalisation

  • Déterminer le montant du loyer du futur locataire « Exemple loi PINEL »

Toutes les ventes en l'Etat Futur d'Achèvement ne doivent pas obligatoirement un contrat préliminaire ou encore des règles spécifiques concernant les garanties d'achèvement, les vices de construction ou encore sur les modalités de paiement du prix. C'est pour cela que l'on parle de secteur libre ou protégé.

  • Secteur protégé :  Concerne la vente des immeubles ou partie d'immeubles à usage d'habitation ou encore à usage professionnel et d'habitation, et elle est systématiquement protégée par des règles spécifiques comme cité plus haut.
  • Secteur libre :  Ici, en référence à la vente d'autres immeubles pour lesquels, le contrat préliminaire n'est pas obligatoire (usage commercial, professionnel ou de bureaux). D'ailleurs, elle n'est soumise à aucune règle.

COMPLÉMENT

Quelle différence faites-vous entre la garantie intégrale et extrinsèque ?

Dans le cadre d'une VEFA du secteur protégé, selon l'article  articles L. 261-10-1 et  R261-17  une garantie financière d'achèvement est obligatoire en prévention de la défaillance du constructeur. On retrouve 2 types de garanties :

  • Garantie extrinsèque :

Grâce à la souscription d'une garantie d'achèvement auprès d'organismes assurant les opérations immobilières, le constructeur peut garantir aux futurs acquéreurs que l'immeuble sera achevé quoi qu'il arrive. Ces organismes se porteront garants dès lors que le maître d'ouvrage présente au démarrage 35 % des réservations.

  • Garantie intégrale :

Cette garantie n'existe plus depuis janvier 2015, car la garantie d'achèvement reposait uniquement sur les fonds du maître d'ouvrage au démarrage du chantier. Elle a été supprimée car trop risquée pour les futurs acquéreurs.

VEFA inversé qu'est-ce que c'est ?

On parle de VEFA inversé lorsqu'un organisme HLM décide de vendre des logements à un promoteur privé, dans le but de promouvoir le développement de la mixité sociale. Le maître d'ouvrage garantit que 30 % de ces logements seront des logements sociaux.

Ne pas confondre livraison du bien et réception des travaux

En effet  la réception des travaux  se fait bien avant la livraison du bien, elle s'effectue entre le vendeur et les différents intervenants (corps de métiers). A l'issue de cette réception, un procès-verbal est établi, et l'on peut voir toutes les réserves émises par le promoteur. En revanche,  la livraison d'un bien en VEFA  se fait lors de la remise des clés à l'acquéreur à la suite d'une visite délicate du bien. L'acquéreur peut à ce moment là émettre également des réserves si le logement n'est pas conforme à la commande initiale.


JURIDIQUE

Sources/ Références : 

  • Codes et lois.fr
  • Légifrance
  • Wikipédia

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    Le traitement d'un préavis de départ
  5. 5
    La gestion des conflits lors de l'état des lieux de sortie
  1. 6
    La gestion des travaux
  2. 7
    La régularisation des charges locatives
  3. 8
    Le remboursement du dépôt de garantie
  4. 9
    La gestion des sinistres locatifs
  5. 10
    Maintenir un bon relationnel avec le(s) locataires(s)

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loi rescision pour lésion
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Fiche de révision en immobilier : Maîtriser les spécificités de la loi ALUR

Maitriser LES SPÉCIFICITÉS DE LA LOI ALUR

Loi ALUR ou loi Duflot II « n° 2014-366 du 24 mars 2014 » , est une loi mise en place pour favoriser l'accès au logement pour tous et revoir les droits de l'urbanisme. Pour Cécile Duflot, le but est : « réguler le marché, protéger les citoyens et innover pour mieux construire. » Source : Wikipédia

LES NOTIONS A RETENIR

  • l'encadrement des loyers 

  • LE préavis de départ

  • l'état des lieux

  • les baux

  • honoraires de location

  • les annonces publicitaires

  • l'accès au logement pour tous

  • lutte contre l'habitat indigne

  • urbanisme

  • copropriétaires et syndics de coproprietes

Ce dispositif a été mis en place pour éviter les abus en termes de revalorisation du prix de loyers entre 2 états des lieux. Cet encadrement concerne les logements vides ou meublés qui sont situés en zone tendue. 

Néanmoins, le bailleur à toujours la possibilité de réévaluer un loyer en cours de location, si ce dernier avait été sous-évalué lors de l'entrée du locataire. 

Toutefois, il convient de respecter certaines conditions en application du décret annuel d'encadrement des loyers. Il peut également envisager une augmentation du loyer en cours de bail, s'il a fait réaliser d'énormes travaux d'amélioration au sein du logement. 

Si vous souhaitez en savoir plus sur la révision des loyers, n'hésitez pas à consulter le cours en ligne directement sur notre plateforme d'apprentissage

Dans les zones tendues, à partir des données obtenues par les observatoires, le préfet devra, en fonction des régions, par le biais d'un arrêté préfectoral, fixer 3 indicateurs de loyer pour chaque catégorie de logement, et par quartier :

  • Un loyer médian de référence
  • Un loyer majoré : inférieur ou égal à 20% du loyer médian de référence
  • Un loyer minoré : inférieur de 30% au loyer médian de référence


COMPLÉMENT

  • La lutte contre l'habitat indigne : si vous souhaitez en savoir plus, nous vous invitons à consulter le Journal officiel de la République française - N° 72 du 26 mars 2014 
  • Les impayés sur la provision sur charge : avant, le bailleur, pouvait réclamer jusqu'à 5 ans d'impayés, mais avec la loi ALUR, la durée du délai de prescription est ramenée à 3 ans.
  • Les révisions de loyers : Avant le bailleur avait la possibilité d'effectuer une révision rétroactive sur les 3 dernières années, mais depuis la loi ALUR, le délai est fixé à 1 an.
  • Tableau de bord : caractéristiques d'un logement décent

JURIDIQUE

Sources/ Références : 

  • Wikipédia
  • Magazine CFP : travaux et augmentation des loyers
  • Cours e-learning : réviser un loyer

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  4. 4
    Le traitement d'un préavis de départ
  5. 5
    La gestion des conflits lors de l'état des lieux de sortie
  1. 6
    La gestion des travaux
  2. 7
    La régularisation des charges locatives
  3. 8
    Le remboursement du dépôt de garantie
  4. 9
    La gestion des sinistres locatifs
  5. 10
    Maintenir un bon relationnel avec le(s) locataires(s)

En bonus : Les tâches incontournables à respecter pour une gestion efficace

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