Qui dit investissement locatif, dit bien entendu, gestion locative !
La gestion locative englobe non seulement la gestion administrative du bien loué, mais également la gestion des travaux.
Lorsque, vous, bailleur, vous envisagez d’investir dans du locatif, il faut être prévoyant. C’est-à-dire, qu'il faut penser à déduire du montant des loyers perçus, un pourcentage, qui sera alloué aux éventuels travaux de remise en état ou de rénovation.
Comment rentabiliser le coût des dépenses liées aux travaux réalisés ?
Avant de faire l'acquisition de votre bien, votre conseiller bancaire prendra le temps de dresser avec vous une grille des dépenses supportées par le ménage, afin d'étudier votre capacité de remboursement pour le crédit à contracter.
Il vous expliquera que pour mener à bien cette étude, qu'il pourra prendre en compte uniquement un certain pourcentage des revenus locatifs, car le reste étant automatiquement bloqué pour pailler aux dépenses liées aux éventuels travaux, et autres.
Il ne manquera pas de vous rappeler que les revenus locatifs font parties des rentrées d’argents inventoriées, c'est à dire que l'on ne peut pas les considérer comme étant une source de revenu fixe.
En effet, la régularité des versements des loyers reste incertaine, en raison du changement des locataires, des loyers impayés, et des éventuels travaux à prévoir.
Ce qui est bien, c'est que le bailleur à la possibilité d'augmenter les loyers après la réalisation de certains travaux au sein du bien loué.
Nous verrons dans ce numéro, quels sont les travaux concernés par cette augmentation, et quelles sont les conditions qui permettent cette application.
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